Francoquin III. Filasse

Un roman en sept jours (suite et fin)

Sept jours durant, pas à pas, nous continuons de suivre Francoquin de forêt en plaine, de coteau en saloon, de bordel en palais, à travers le pays cyclopéen qu’il débarrasse des bandes contre-révolutionnaires à la solde de l’Empereur. Cent aventures l’attendent, des plus héroïques aux plus picaresques. En ville, Filasse espère son retour rapide. Quand il rentrera, le quotidien sera pathétiquement au rendez-vous…

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Description

N’est pas vendu séparément. Voir : coffret Francoquin.

Format : 14,5 x 21 cm. Noir et blanc. 400 pages

Illustrations de l’auteur.

Version PDF : francoquin_3

Extrait

« Double-Mouche, Francoquin, Requiem, Catt-bis, Max et trois soldats pénètrent dans la forêt, dague au poing. Il fait très sombre sous les arbres. Des branches parfois se balancent. Cris d’oiseaux nocturnes. Double-Mouche s’arrête. Silence attentif. Un bruit de branches brisées se fait entendre sur la droite, et Francoquin se meut dans cette direction,
mais Double-Mouche le retient, lui ordonne de se taire, par signes. Attente.
Un nouveau bruit de branches, à droite encore, et soudain le cri retentit à côté d’eux, et un soldat qui se retourne pousse un hurlement d’effroi :
– Là ! Là ! L’homme-rat ! La bête !
Fracas de branches écrasées, Double-Mouche se rue en avant suivi de Francoquin, Catt-bis, et les autres. Ils débouchent dans une clairière, s’arrêtent, dévoyés, s’interrogent du regard. Double-Mouche, par gestes, envoie chacun se poster en bordure. La pluie tombe. L’attente est longue dans la clairière. La pluie. Et le cri suraigu part violemment comme un éclat de rire derrière Francoquin qui pivote en frappant d’instinct dans l’instant même ou des griffes (?) sauvages lui déchirent férocement le cou ! Le cri se mue en hurlement de rage, et tandis que Francoquin est rejeté par une force formidable, que Double-Mouche traverse la clairière en trois bonds, que Francoquin se prosterne en râlant secouru par Catt-bis et Max, des bruits de branchages décroissants annoncent l’éloignement momentané du danger… »

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« Avec Yak Rivais, on ignore également où on va. C’est la folie transhumante, le délire vagabond. Son imagination est une Cocotte-minute chauffée à blanc, il porte en lui un monde vociférant, dantesque et provocateur… » Bernard Pivot, Le Figaro littéraire.

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